Publi Express
Monsieur Le Lan, bonjour. Tout d'abord, permettez moi de vous remercier pour votre disponibilité. Nous savons que le temps vous est précieux en se moment, publication des comptes oblige...
Avant de nous parler de votre nouveau "Bébé", nous allons faire le point sur les autres sociétés de votre groupe :
Pourriez vous nous faire un bilan général de vos différentes filiales pour l'exercice précédent ?
Guillaume Le Lan :
Premier exercice pour Electro-pops, le résultat est faiblement négatif mais cela est tout à fait normal : frais d’ouverture des usines. Nous attendons pour cet exercice un résultat nettement positif. Pour le moment c’est une petite filiale dont les débouchés dépendent totalement du groupe Micropops. Nous prévoyons d’augmenter son capital de façon significative afin d’avoir le financement pour envisager une croissance interne au niveau international.
Agro-pops a réalisé son premier « bon » exercice avec un bénéfice de près de 5000ej, la société arrive à pratiquer un taux de marge correcte et les débouchés de multiplies notamment sur les activités amonts de la filière.
Créée à l’occasion du « projet Athènes », Agro-pops s’est l’exercice précédent installée en Amérique du sud et projette à court terme une implantation en Afrique et en Asie.
PE : Micropops cherchait à se séparer d'une activité de Niveau 2. De quelle activité s'agissait-il ? Avez vous trouvé un repreneur ?
GLL : Il s’agissait du motoriste thermique de Manaus qui a trouvé preneur. C’était en fait la seule activité de la société Micropops qui n’avait pas encore trouvé de repreneur.
PE : Quels projets pour Micropops ?
GLL : Beaucoup !!
Pour cet exercice : désengagement des activités de N2 avec la création d’une nouvelle société cotée qui va reprendre nos usines africaines et dont la gestion sera donnée immédiatement à un joueur de N3.
Ces abandons d’activité vont permettre un centrage sur le métier de production d’acier. Avec déjà une production de près de 50 tonnes d’acier par jour, nous comptons nous faire une place de leader sur les marchés africain et européen.
A moyen terme : passage N5, entrée en bourse du groupe, augmentation de capital des filiales, prises de participations dans des société cotées. Parallèlement les activités de ferme à épices et de traitement des déchets seront basculées sur les filiales.
A long terme : Micropops sera une holding qui n’aura plus d’activité de production. La société s’occupera de gérer son portefeuille boursier et de manager les dirigeants des sociétés qu’elle contrôle. L’ensemble des PDG du groupe travaillera à des projets de développement régionaux en partenariat des investisseurs externes, la stratégie globale étant définie pat la maison mère.
PE : Tout le monde connaît l'étroite collaboration existant entre les PDG des groupes Péliche, Ascencion et vous mêmes.
Quels sont les points communs entre ces 3 groupes ?
GLL : Ils sont gérés par des PDG qui se connaissent IRL….David est un ami d’enfance et j’ai fait mes études à l’IUT avec Nicolas.
Ensuite mis à part le fait qu’on travaille ensemble sur les mêmes zones géographiques, nous n’avons pas les mêmes habitudes de gestion.
PE : L'union liant ces trois sociétés ne représente-t-elle pas parfois une contrainte ? Votre groupe est-il indépendant ?
Non, c’est pas une contrainte comme nous nous connaissons nous réglons nos affaires par téléphone ou chez moi autour d’un café. C’est en fait un avantage : réactivité, flexibilité, communication…On peut s’appeler à n’importe quelle heure pour avoir un contrat avant le lendemain 7h30..lol
Nous réalisons une grosse partie de notre CA entre nous, mais les sociétés reste bien indépendantes. Y’a aucun souci pour Micropops, en revanche Agro-pops dépend totalement de mon partenariat avec Peliche.
PE : Votre nouveau bébé, INDUSTRYAL MOTORS, est encore le fruit de cette association : Qui en est l'actionnaire majoritaire ?
GLL : Personne ! 33.33% chacun.
PE : Pourriez vous nous en dire plus sur INDUSTRYAL MOTORS ? :
- Objectif a court, moyen et long terme
GLL : A court terme : profiter du départ de D Corp pour s’installer solidement en Europe, dégager des bénéfices. L’objectif initial était de grignoté des parts de marché au géant. A vrai dire je suis un peu triste qu’il parte je voulais voir si notre société totalement « désintégrée » style Renault aurait pu grâce à ses fournisseurs ultra compétitifs rivaliser contre le géant intégré à la Général Motors.
Le reste de la stratégie n’est pas définie, nous déciderons aux vues des résultats de cet exercice. Soit intégration verticale, augmentation la production existante, internationalisation..
PE : Perspective d'avenir ?
GLL : Moi personnellement je serais pour une stratégie d’internationalisation avec la création de filiales, mais ça c’est encore un autre projet…
PE : L'ouverture du capital à t'il commencé; sinon, pour quand est il prévu ?
GLL : Pour le moment nous gardons nos actions, par d’ouverture du capital de programmée.
PE : Pensez vous distribuer une dividende a la fin de l'exercice prochain ?
GLL : Oui, aux vues des premiers chiffres j’espère que la société puisse verser un dividende conséquent.
PE : La concurrence Européenne est rude. Qu'auront de plus les véhicules de INDUSTRYAL MOTORS pour conquérir le marché ?
GLL :
1-le NOM, c’est un constructeur auto, point ! En développent se projet je voulais créer une marque, le véhicule IM
2-Des excellents fournisseurs.
3-Un conseil d’administration expérimenté.
4-Un très bon PDG
4-Et surtout une capacité d’autofinancement et pas encore endetté, la société dispose de flexibilité stratégique qui lui permettrons de s’adapter au marché.
Il y’a aussi le soutient des Groupes Micropops et Peliche.
PE : Vous laissiez entendre il y a quelques temps que vous seriez éventuellement intéressé par une carrière politique. Qu'en est-il ?
GLL : Oui ça m’intéresse, cela fait des mois que j’y pense mais IRL j’ai pas assez de temps, d’où mon envie de déléguer la gestion de l’exploitation. L’été approche, j’aurais du temps fin juin et en juillet. C’est pourquoi il est fort probable que je me présente aux prochaines élections afin tenter d’agir sur l’économie et surtout faire en sorte que l’on ne traverse pas la même crise que l’été dernier.
PE : Quel bilan faites vous de la politique du conseil actuel
GLL : Comme d’habitude je salue le travail de Seb Ra et notamment pour l’immobilier, de l’interventionnisme pur et dur mais on a rien trouvé de mieux dans industry.
Je reste cependant extrêmement déçu par le niveau des discutions actuelles et de l’ambiance sur les forums. Je pense qu’on devrait débattre de choses qui feraient avancer le jeu et se positionner sur de vrais débats : comment avoir plus de joueurs ? Comment créer une croissance forte sans tomber dans un jeu cochonlandestque? Intégrer les nouveaux ? Créer une inflation ?.....
PE : Monsieur Le Lan, nous vous remercions
Propos recueilli par Jérôme BARRAL
